Après les «quatre expériences sur les rats», la bande-dessinée sur la petite histoire de l’inhibition de l’action et le court article biographique présentant Laborit et l’entretien principal avec Laborit « De la molécule au comportement humain », on termine cette semaine le dossier de la revue Psychologie de mars 1982 avec un article de Jérôme Bliss intitulé « Les thérapies corporelles à la lumière des expériences d’Henri Laborit ».
Étant donné que l’article n’est pas de Laborit et qu’il est assez long (6 pages), je me contenterai de faire ressortir un seul sujet par page (cliquez sur les pages pour les lire).
Ainsi, dans la première page, Liss explique la mise en évidence d’un système inhibiteur de l’action par Laborit et le situe par rapport à la recherche de plaisir et au système d’attaque-fuite.
Dans la deuxième page, Liss rappelle que l’être humain en société est souvent soumis à l’inhibition de l’action et entreprend de donner un certain nombre d’exemple clinique de ce phénomène.
Dans la troisième page, Liss montre que les thérapies corporelles, par le mouvement du corps qu’elles impliquent, peuvent diminuer l’inhibition de l’action et les émotions négatives associées.
Dans la quatrième page, Liss décortique les mécanismes des ulcères gastro-intestinaux à la lumière de l’inhibition de l’action.
Dans la cinquième page, Liss examine le cercle vicieux où les idées noires et le système inhibiteur de l’action se renforcent mutuellement.
Dans la sixième page, Liss explique que dans certaines circonstances, si elle ne dure pas trop longtemps, l’inhibition de certains comportements peut être adaptative.
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Surveillez le prochain billet : un film inédit sur Laborit tourné par l’un de ses fils !